Neolamprologus fasciatus est une espèce digne d’un intérêt particulier. Pour commencer il a un corps allongé et compressé latéralement ce qui, de face peut le faire “disparaitre” aux yeux de ses proies, car c’est bien un prédateur. Un des premier texte que j’ai pu lire sur lui, sur son comportement de chasse, était qu’il attaquait…
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Neolamprologus devosi a été décrit en 2003 par Robert Schelly, Melanie L. J. Stiassny & Lothar Seegers. Inscrit dans le genre Neolamprologus, cette espèce est pourtant génétiquement plus proche des Telmatochromis, Telmatochromis sp. ‘Lufubu’ étant son plus proche parent. Un fluviatile C’est donc une espèce fluviatile vivant uniquement dans la basse Malagarazi (Tanzanie au sud…
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Neolamprologus cylindricus est aussi un hôte de la zone rocheuse, lui n’en décolle pas, il nage en rasant le substrat tel un Julidochromis. On ne le verra jamais en pleine eau, et même il évitera au maximum la pleine lumière, lui préférant largement les failles et cavités ombreuses. Son allure, le contraste de sa livrée,…
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Neolamprologus cunningtoni est le plus grand Neolamprologus, pouvant dépasser les 30 cm, il est loin devant toutes les autres espèces du genre. Cette espèce a longtemps été classée dans le genre Lepidiolamprologus, eut égard à ses caractéristiques méristiques, la plus parlante état le nombre d’écailles en ligne longitudinale. En effet chez Neolamprologus, le nombre de…
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Neolamprologus crassus fait parti du groupe de Neolamprologus qui n’arborent pas de taches noires sur les joues. Le nom de crassus signifiant : épais/trapu/gras, on se demande la raison qu’a eu le descripteur (Brichard 1989) pour lui donner ce nom, qui serait mieux porté par N. marunguensis qui a des mensurations bien plus ramassées que…
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Neolamprologus christyi fait partie de ces espèces qui ont la nageoire caudale et ‘lyre’, c’est à dire que chaque extrémités peut se terminer en pointe voir en longs filaments, et la partie centrale des rayons et incurvée. Habitant le milieu rocheux, comme beaucoup d’autres membres de cette tribu (mais pas tous), il fouille les anfractuosités…
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Le Neolamprologus chitamwebwai est un Neolamprologus qui a une aire de répartition restreinte. Il vit au nord de l’estuaire de la Malagarazi en Tanzanie sur la pointe de cap Bangwe, séparé de N. falcicula, il a ses propres caractéristiques physiques, une apparence plus pâle et plus svelte que son cousin. Nous pouvons mettre en parallèles les…
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Neolamprologus buescheri est un cichlidés des profondeurs, il se rencontre rarement au dessus des 20 mètres. Répartit sur une grande moitié sud du lac, il a été découvert par Heinz Büscher, lors d’un de ses nombreux voyage sur le lac. Nous pouvons presque considérer que chaque localité a sa forme singulière (et personne ne cite…
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Neolamprologus brichardi fait partie de la première vague de cichlidés exportés du lac Tanganyika. Son allure somptueuse en fait un hôte privilégier des aquariums. Même si au début cela n’a pas été simple. Éblouis par sa beauté, les premiers aquariophiles à “essuyer les plâtres” avec cette espèce ne purent que constater sa territorialité et sa…
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Neolamprologus bifasciatus comme indiqué précédemment, vit dans les profondeur excédant les 30/35 mètres, il vit en solitaire. J’ai eu le plaisir rare d’en observer dans une zone intermédiaire à Kantalamba à une quarantaine de mètres de profondeur. J’ai tout d’abord vu un spécimen assez imposant, passant de roches en petits tas de roches, puis…
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Le genre Neolamprologus est le plus représenté et le plus diversifié du lac Tanganyika, il est associé à la tribu des Lamprologini qui est composée des genre suivants : Altolamprologus, Chalinochromis, Julidochromis, ‘Lamprologus’, Lepidiolamprologus, Neolamprologus, Telmatochromis, & Variabilichromis. C’est la tribu la plus importante avec ses 110 espèces décrites. La tribu est âgée approximativement de…
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Lobochilotes labiatus est un membre de la tribu des Tropheini, sur l’arbre phylogénétique il est lié aux Petrochromis avec qui il a un ancêtre commun, la séparation date d’il y a environ 4 M. d’années. Il a été décrit par Boulenger en 1898 à partir d’un spécimen capturé à Kiniamkolo (actuel Mpulungu). Quelques décennies plus…
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Lepidiolamprologus profundicola est, comme tous ses cousins du genre, un prédateur de la zone rocheuse dont il ne s’éloigne pas trop. Il peut suivre des bancs de jeunes tel que les Haplotaxodon pour profiter de la moindre inattention d’un individu sur lequel il fondra inexorablement. Sa présence est assez sporadique comparée à L. elongatus qui…
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Lepidiolamprologus kendalli, est un prédateur moyen des profondeurs, on peut le rencontrer à partir des 30/35 mètres et plus bas. Sa livrée anthracite marbrée de quelques tâches claires le rendent difficilement détectable s’il est immobile contre les roches. Il peut aussi chasser “à courre” en milieu intermédiaire profond, suivant les bancs de jeunes Paracyprichromis…
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Comme tous les Lepidiolamprologus, Lepidiolamprologus elongatus est une espèce prédatrice piscivore de taille moyenne, sa mâchoire armée de crocs acérés est un signe qui ne trompe pas. Vivant en milieu rocheux, L. elongatus accompagne souvent les banc de Cyprichromis leptosoma, ainsi que ceux de Paracyprichromis brieni. Croisant dans la rocaille, il cherche ses proies parmi…
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Limnotilapia dardenni est un incubateur buccal maternel de la tribu des Tropheini. Il se rencontre surtout en zone intermédiaire à rocheuse, parfois accompagné de G. pfefferi, mais aussi accompagnant d’autres espèces croisant en pleine eau. Les mâles peuvent atteindre facilement plus de 20 cm. Le genre Limnotilapia ne comporte qu’une espèce qui est très prolifique,…
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‘Lamprologus’ meleagris est un conchylicole aussi impétueux que petit, sa livrée contrastée agrémentée d’une multitude de points nacrés, en fait un joli hôte pour un aquarium sableux avec quelques coquilles éparses. Il a longtemps été confondu avec ‘L’. stappersii, jusqu’à ce que Heinz Büscher le décrive. Notons que ce qui les différencies clairement, c’est la…
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Lestradea perspicax est un ectodini, l’espèce est grégaire et se déplace en bancs (comme son cousin L. stappersii). Ils se déplacent en fonction de la présence de zooplancton, sur les fonds sableux. Lors de la fraie dans la zone sableuse, les mâles construisent des cratères lors des phases de pontes (leks). Sa biologie est assez…
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‘Lamprologus’ signatus est un habitant des fonds vaso-limoneux, il crée des galeries dans le substrat comme quelques autres espèces du lac Tanganyika (‘L.‘ laparogramma, Triglachromis otostigma… etc.), y pondant et protégeant ainsi sa descendance. Contrairement à une idée reçue qui circule parfois, ‘Lamprologus’ signatus n’est pas conchylicole, mais se satisfait de coquilles comme abri,…
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Voici le genre Lepidiolamprologus, il s’agit de prédateurs élancés, généralement de taille moyenne. Ils sont le plus souvent rencontrés dans les zones intermédiaires et sableuses, mais certains affectionnent les zones rocheuses profondes comme L. kendalli par exemple. Généralement calme, ils peuvent s’avérer belliqueux lors des pontes, et demande un volume conséquent et des cohabitants armés…
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Lepidiolamprologus attenuatus est un cichlidés prédateur de taille moyenne, il affectionne les zones intermédiaires à sableuses, où il croise à la recherche de proies. S’attaquant aux alevins téméraires, il fond sur les esseulés ou les aventuriers sortis de la protection de leur parents. Comportement singulier Un comportement intéressant, est celui de la ponte, on peut…
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‘Lamprologus’ similis est un conchylicole, il se rencontre dans les zones à “lit de coquilles”, formant de petits groupes familiaux, ce n’est pas à proprement parlé une espèce qui vie en colonie, comme son cousin ‘L.’ multifasciatus. Il est intéressant de noter les espèces conchylicoles rencontrées sur le même secteur (Karilani island étant le seul…
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‘Lamprologus’ ornatipinnis est un conchylicole. Sa zone de prédilection se situe sur les secteurs sableux plus ou moins profonds. Ses coquilles (Neothauma) lui servent d’abri en cas de danger, de site de ponte et de protection pour les larves et alevins. Une variété présente à Kigoma et sa région (‘L.‘ aff. ornatipinnis “Kigoma) a un…
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‘Lamprologus’ ocellatus est un des premier cichlidé conchylicole exporté du lac dans les années 80′ (au siècle dernier). Leur comportement singulier fascinait les néophytes que nous étions, imaginez la découverte de poissons qui s’abritent, pondent et élèvent leurs petit (plus ou moins longtemps) dans des coquilles d’escargots (vides) ! ‘Lamprologus’ ocellatus se rencontre surtout dans…
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‘Lamprologus’ multifasciatus est considéré comme le plus petit cichlidé du monde (étant battu d’un millimètre par Nanochromis minor), les femelles mesurent rarement plus de 2.5 cm en milieu naturel (cette taille maximale peut être dépassée en aquarium). Il vit, s’abrite et pond dans les coquilles de Neothauma constituant les lits de coquilles bien connus, le…
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‘Lamprologus’ lemairii est un prédateur, sont profil général ne le révèle pas au premier abord, mais regardons-y de plus près. Un corps ramassé et trapu, une tête grosse proportionnellement, mais surtout des dents acérées, voilà le portrait craché du prédateur. Il ne pratique pas la “chasse à courre” comme un Lates non, il ne pratique…
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‘Lamprologus’ leloupi (nom dédicatoire à Eugène Leloup spécialiste des invertébrés ayant participé aux expéditions de Max Poll) a été décrit à partir de spécimens de la côte est (Congo) dans la région de région de Mtoto. Comme sont proche parent ‘L’. caudopunctatus, sa petite taille n’enlève rien à son agressivité, pour ne pas dire…
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‘Lamprologus’ laparogramma est une espèce proche de ‘L’. signatus, à ceci près que les deux sexes sont semblables et quelques différences notables. Ils occupent les fonds plus ou moins vaso/limoneux dans lesquels ils creusent de petites galeries qui leurs servent de refuges et/ou de sites de pontes. N. laparogramma.
Découvrons les ‘Lamprologus’ caudopunctatus et sp. caudopunctatus si vous le voulez bien. Il s’agit d’une espèce, ou plutôt deux maintenant ceux de Kipili (répartit de Karema à Izinga) ont été récemment assimilés à une potentielle nouvelle espèce, avec de fortes affinités avec LE ‘L’. caudopunctatus. C’est une espèce petite, mais bien armée, au caractère bien…
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‘Lamprologus’ calliurus Traduit d’après le site Cichlidroom Companion (avec l’aimable autorisation de Juan-Miguel Artigas Azas). Trois spécimens types (syntypes) ont été collectés par le Dr W. A. Cunnington lors de la troisième expédition au Tanganyika en 1904-1905, au cap Tembwe (Tembwi). Deux de ces types sont aujourd’hui déposés au Natural History Museum [Londres] sous les…
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Voici une espèce des plus singulière, en effet, ‘Lamprologus’ callipterus a plusieurs vies… Cela commence au fond d’un Neothauma, au milieu d’un amas de coquilles rassemblées par le maître des lieux, le nid peut être composé de quelques dizaines à plusieurs centaines d’unités ! L’enfance et l’adolescence se passe en groupe, en plus ou moins…
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‘Lamprologus’ brevis est représenté un peu partout autour du lac Tanganyika, et si des coquilles de Neothauma sont disponibles, le secteur peut être un habitat privilégié pour cette petite espèce conchylicole. Que se soit de grandes zones sableuses, ou dans un habitat intermédiaire, voir les lits de coquilles, ils peuvent être présents en nombre, ou…
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Le genre ‘exLamprologus’ est non décrit. On y retrouve pêle-mêle des grands ou moyens prédateurs, des petits conchylicoles, des habitants des profondeurs, bref un pu de ménage là-dedans fera le plus grand bien pour la compréhension de tous. Ici nous ne nous intéresserons uniquement aux espèces vivants dans le lac Tanganyika, ‘Lamprologus’ n’ayant aucune valeur…
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Le genre Julidochromis appartient à la tribu des Lamprologini, à ce jour 6 espèces sont décrites. Au moins autant de variations géographiques pourraient être élevées à ce rang (à décrire) à mon humble avis. Habitants typiques des anfractuosités Habitants typiques des anfractuosités, ils vivent dans les zones rocheuses exclusivement. “Glissants” et furetant entre les blocs,…
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Interochromis loocki est seul de son genre, c’est un proche parent des Petrochromis. Durant de nombreuses années il a été appelé Petrochromis sp. orthognathus “tricolor”, mais quelqu’un (qui ?) a fini par le remettre à sa place, sa description datant de 1949 par Max Poll sous Limnotilapia loocki, il fit un passage comme Simochromis loocki,…
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Les Hemibates – koningsi & stenosoma – sont des prédateurs voraces des profondeurs, atteignant les 35 cm., ils se nourrissent de poisson “fourrage” (Trematocara spp., Stolothrissa, Limnothrissa etc.) présents au-delà des 50 mètres où ils sont pêchés. Sur le lac Tanganyika, il n’est pas rare de croiser des pêcheurs qui vous proposent le fruit de…
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Les Haplotaxodon sont un genre est composé de deux espèces, microlepis, et trifasciatus (décrite plus récemment). Les Haplotaxodon sont pélagiques, et se rencontre également à proximité des côtes, suivant les migrations de plancton (copépodes), ainsi que celle des alevins de sardines du lac ; Stolothrissa & Limnothrissa dont on retrouve de grandes quantité dans leurs…
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Le genre Greenwoodochromis est composé d’espèces vivants dans les profondeurs relativement importantes. Ils sont intégrés à la tribu des Limnochromini. Généralement croisés en dessous des trente mètres, ils affectionnent les zones intermédiaires ; entre sable/limon, et aussi roches, n’hésitant pas à excaver les sédiments afin d’en faire des galeries, modelant le paysage à leur convenance.…
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Le genre Grammatotria est monotypique, décrit par Boulenger en 1899. Ce poisson est impressionnant par sa taille, c’est le plus grand Ectodini connu, pouvant atteindre les 40 centimètres ! Il circule dans les zones sableuses en groupes, voir en bancs, fouillant profondément le substrat avec son museau adapté et pointu. Il filtre les corpuscules comestibles…
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Les Gnathochromis sont représentés par deux espèces dans le lac Tanganyika, le genre a été créé en 1981 par Max Poll. Beaucoup d’auteurs indiquent que G. pfefferi pourrait sortir de ce genre, reste à savoir auquel il appartiendrait…? S’il est un poisson dont on ne peut pas douter de la spécialisation, de par le développement…
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Ce sont sont des végétariens purs Les Eretmodus vivent dans la partie supérieur de l’habitat, là où viennent déferler les vagues. Ils sont parfaitement spécialisés dans le “raclage”, le “broutage” de la couche de périphyton. La longueur de l’intestin approche les 3x la longueur du corps, et peut contenir du sable (matière ballast aidant au…
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Les Enantiopus sont des poissons que l’on peut qualifier de sabulicoles, même si des zones d’ombres subsistent. En effet, Les pêcheurs avec qui le voyage s’était effectué sur le lac, nous avaient rapportés que la seule période où il étaient visibles (par exemple à Karilani), étaient celle où ils se rassemble en leks, apriori une…
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Le genre Ectodus est monotypique. C’est une espèce des zones sableuses. Les mâles forment de grands cratères, triant les particules de sable des plus fines au centre, aux plus grossières sur le pourtour du cratère. L’espèce est très prolifique, et une femelle peut donner naissance à une bonne cinquantaine d’alevins à la fois. Ils sont…
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Les Cyprichromis spp. sont des planctophage qui vient en bancs nombreux, ces bancs peuvent être composés de milliers, voir de dizaines de milliers de spécimens. Lors de certaines explosions (bloom) de planctons, ces explosions de phytoplancton (Cyanophycées etc.) entrainent immanquablement une explosion de zooplanctons (Copépodes etc.), profitable à énormément d’espèces du lac ; citons les…
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Le genre Cyphotilapia est réparti sur tout le pourtour du lac Tanganyika. L’espèce type a été décrite à partir de spécimens de la région de Kigoma, celle là même qui compte 7 barres sur le corps, toutes les autres n’en n’ont que 6. Ils vivent dans des profondeurs comprises entre 25 et 100 mètres, se…
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Les Cyathopharynx foae et furcifer sont LES cichlidés à palettes, ils sont appelés comme cela à cause des palettes ovoïdes qui ornent l’extrémité de leurs nageoires pelviennes, tout comme les Ophthalmotilapia. Les mâles occupent des territoire assez vastes, d’où ils chassent tous les rivaux. Attirant les femelles par leur “danse” typique ; nageoires ventrale et…
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Cunningtonia longiventralis fait parti de la tribu des Ectodini. C’est un cichlidé à palettes (moins développées que chez ses cousins Cyathopharynx ou Ophthalmotilapia), rarement rencontré en aquarium. Si il peut être éclatant de couleurs en milieu naturel, en aquarium il s’avère généralement terne, ceci expliquant peut-être cela…? Les mâles creusent des cratères de ponte,…
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Shuja horei est un haplochrominien du lac Tanganyika, c’est un incubateur buccal maternel. Il affectionne les zones d’herbiers/sablonneuses, mais peut être croisé dans les autres zones (roches, intermédiaires). Son caractère est bien trempé, et il est quasiment impossible de maintenir 2 mâles ensemble, même dans un très grand volume. Une étude menée sur cette espèce,…
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Les espèces du genre Chalinochromis sont exclusivement inféodées au substrat rocheux. Mangeurs d’escargots, il sont capables de broyer une coquille de Melanoides et de recracher de la poudre. C’est une espèce solitaire, il faut donc faire attention lorsqu’on en met plusieurs en présence, cela pour éviter des morts inutiles. Ch. sp. bifrenatus (en…
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Le genre Cardiopharynx est monotypique (qui n’a qu’un membre), son nom lui vient de ses dents pharyngienne dont la lame a une forme de cœur. C’est un ectodini de la zone sableuse où il est rencontré en bancs, parfois mélangé à d’autres ectodini types Lestradea, Ectodus. Poisson assez commun il sert, comme beaucoup d’autres espèces,…
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Le genre Callochromis fait parti de la tribu des Ectodini. Rencontré généralement dans la zone intermédiaire, il se nourrit en fouillant le substrat sableux, et croise régulièrement dans les rochers. Les mâles font des cratères dans les quels ils attirent les femelles pour la ponte, paradant, nageant autour à grande vitesse, leur danse est explicite,…
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Boulengerochromis microlepis est le plus grand cichlidé d’Afrique, c’est un prédateur, avec ces 80 cm. et ses 4/5 kg il sème la terreur dans les bancs d’Enantiopus, et autres ectodini et non-cichlidés de la zone sableuse. Les juvéniles et sub-adultes peuvent être rencontrés en bancs serrés, parcourant de grandes distances afin de trouver leur nourriture.…
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Le genre Benthochromis est, comme son nom l’indique, un habitant des profondeurs. Ayant eu la chance d’en croiser un dans une vingtaine de mètres, j’avais été subjugué par l’éclat de la livrée, bleu ciel et blanc ! Bien loin des tons foncés qu’on imagine généralement, bien sur dans les secteurs où les rayons du soleil…
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Les Bathybates sont un genre de cichlidés prédateurs pélagiques, leurs formes élancées leur confère une vélocité utile pour leurs chasses. Certaines espèces vivent au contact des bancs de diverses espèces de non cichlidés du lac les Limnothrissa et Stolothrissa (sardines du lac), les suivants dans leurs migrations quotidiennes, des profondeurs en journée à la surface…
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Baileychromis centropomoides (R. M. Bailey & D. J. Stewart, 1977) est une espèce des profondeurs, il est toujours capturé dans les fonds dépassant les 100 mètres. Vous pourrez voir ici le seul cliché d’un spécimen remonté vivant (il ne l’est malheureusement pas resté longtemps). Il se nourrit en nageant au ras du substrat dans la…
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Aulonocranus dewindti est membre de la tribu des Ectodini. Proche parent des autres cichlidés “à palettes”, ses nageoires pelviennes si elle ne sont pas surdimensionnées, et représentatives, n’en sont pas moins développées. Cette espèce a ceci de particulier, ce qui n’est pas générale (comme on peut le voir sur certains clichés en milieu naturel), qui…
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Astatotilapia burtoni est endémique du bassin du lac Tanganyika. Il se rencontre dans les zones de marais, d’herbiers,dans les estuaires et les lagunes. C’est un Haplochromini, aux belles couleurs, sa nageoire anale est décorée de nombreux ocelles. Son tempéramment turbulent, peut facilement stresser les espèces placides, il ne faut pas le mélanger avec n’importe qui,…
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Le genre Astatoreochromis fait parti de la tribu des Haplochromines, sur 3 espèces, deux se rencontrent dans le bassin de drainage du lac Tanganyika Ruzizi, Lukuga, Malagarazi… Astatoreochromis straeleni. Astatoreochromis straeleni (Poll, 1944) Astatoreochromis vanderhorsti (Greenwood, 1954) Source Wikipédia.
Asprotilapia leptura est un brouteur pur, sa bouche infère est totalement adaptée pour racler le périphyton, par mouvement très rapides, il avance tout en raclant le susbtrat rocheux. Totalement adapté au milieu rocheux, c’est une espèce très fragile, en captivité, il est très rare de pouvoir former un couple. Cette espèce mérite qu’on la laisse…
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Altolamprologus calvus, compressiceps et spp. aff. Les Altolamprologus sont des prédateurs piscivores de la zone rocheuse à faible profondeur. Leurs proies de prédilections sont généralement les alevins jusqu’à 3 ou 4 cm., mais ils peuvent également se nourrir de crustacés de type crevettes du lac. Il existe 2 espèces décrites dans ce genre, compressiceps et…
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Hors-série spécial lac Tanganyika
Hors-série Tanganyika
